On entend beaucoup parler ces derniers temps du nuage qui se propage dans le ciel européen. On n’entend d’ailleurs que cela…
Ce phénomène naturel nous rappelle à quel point nous sommes dépendants des « faits et gestes » de notre chère planète et réciproquement…
Lourd tribu économique que cet épisode qui « gèle » le trafic aérien… Rendez-vous, colloques, réunions… annulés…
Sans compter le manque à gagner des professionnels du tourisme et l’exaspération des voyageurs non remboursés.
Moins de CO2 pourrions-nous dire mais au bout du compte, il semble que nous n’en sortions pas si « gagnants » compte tenu de la composition du nuage (le nuage d’altitude est composé à 58 % de silice (SiO2) ou quartz, un minéral très dur, capable de rayer une vitre….)
Outre le risque de visibilité , la crainte d’endommagement des réacteurs, nos poumons ne seraient pas en reste…
Pas de panique néanmoins (les micro particules dérivent à 11 km d’altitude) – même si le scénario du nuage de Tchernobyl bloqué à la frontière a de maigres chances de succès cette fois-ci – l’incidence sur la qualité de l’air « semble » mineure. A suivre…
Cet évènement nous rappelle notre vulnérabilité face à une nature « capricieuse » (peut-on penser qu’elle soit réactive aux agressions humaines ?) et un système fragile face aux impondérables…
Mots-clefs : Avions bloqués, Ciel européen immobilisé, Nuage aérien, Volcan islandais Ejyafföll