Archive pour avril 2010

Volcan islandais Eyjafjöll : la nature reprend ses droits…

Mercredi 21 avril 2010

On entend beaucoup parler ces derniers temps du nuage qui se propage dans le ciel européen. On n’entend d’ailleurs que cela…

Ce phénomène naturel nous rappelle à quel point nous sommes dépendants des « faits et gestes » de notre chère planète et réciproquement…

Lourd tribu économique que cet épisode qui « gèle » le trafic aérien… Rendez-vous, colloques, réunions… annulés…

Sans compter le manque à gagner des professionnels du tourisme et l’exaspération des voyageurs non remboursés.

Moins de CO2 pourrions-nous dire mais au bout du compte, il semble que nous n’en sortions pas si « gagnants » compte tenu de la composition du nuage (le nuage d’altitude est composé à 58 % de silice (SiO2) ou quartz, un minéral très dur, capable de rayer une vitre….)

Outre le risque de visibilité , la crainte d’endommagement des réacteurs, nos poumons ne seraient pas en reste…

Pas de panique néanmoins (les micro particules dérivent à 11 km d’altitude) – même si le scénario du nuage de Tchernobyl bloqué à la frontière a de maigres chances de succès cette fois-ci – l’incidence sur la qualité de l’air « semble » mineure. A suivre…

Cet évènement nous rappelle notre vulnérabilité face à une nature « capricieuse » (peut-on penser qu’elle soit réactive aux agressions humaines ?) et un système fragile face aux impondérables…

Les premières retombées du Communiqué de Presse BioLodging !

Vendredi 9 avril 2010

http://www.communique-de-presse-gratuit.com/actualites-buzz-et-medias/vacances-2010-hotels-de-charme-responsables-a-reserver-en-ligne/

Solutions locales pour un désordre global…

Jeudi 8 avril 2010

Je suis tenté d’aller voir le nouveau film de Coline Serreau qui semble mettre en lumière de bonnes initiatives au service de notre bien-être…

Dépassant la simple dénonciation d’un système agricole perverti par une volonté de croissance sans limite, Coline Serreau nous invite  à découvrir de nouvelles pistes de production agricole, de pratiques qui fonctionnent, réparent les dégâts et proposent une vie et une santé améliorées en garantissant une sécurité alimentaire durable.

Comme elle le rappelle :

« Les films d’alertes et catastrophistes ont été tournés. Ils ont eu leur utilité, mais maintenant il faut montrer qu’il existe des solutions, faire entendre les réflexions des philosophes et économistes, qui, tout en expliquant pourquoi notre modèle de société s’est embourbé dans la crise écologique, financière et politique que nous connaissons, inventent et expérimentent des alternatives.  »

« Avec ce film, je montre qu’il existe partout dans le monde des gens qui, sans se connaître, font la même chose, ont la même philosophie de vie et les mêmes pratiques envers la terre nourricière. Mettre en lumière cette universalité des solutions, tout autant que leur simplicité, c’était vraiment le but du film »
— Coline Serreau

Vite… aux guichets !

Et rendez-vous après le visionnage pour échanger sur le sujet.

Pour en savoir plus : www.solutionslocales-lefilm.com

La jungle des labels…

Jeudi 8 avril 2010

Le magazine « terraeco », dans son numéro du mois d’avril, propose un guide pédagogique permettant de mieux comprendre la signification des labels, leur périmètre, les garanties etc…

Un sympathique parcours initiatique qui nous éclaire sur les nombreuses initiatives « alimentaires », du « papier / bois », la « santé / beauté », la « maison », ou » multi-secteurs ».

A lire sans modération.

Je regrette simplement (j’ai ma part de subjectivité) le manque de visibilité du secteur touristique, là encore grand absent (à ce propos, très peu d’acteurs du tourisme étaient présents au salon « Planète Durable »…)

Pour rappel, trois labels certifient aujourd’hui l’hébergement touristique : l’ « Ecolabel » (cité dans l’article) mais aussi la « Clé Verte » et enfin « Green Globe ».

Vous me direz « encore des labels »…

Pour en savoir plus : www.terraeco.net

Permier vol de l’avion solaire au dessus de la Suisse

Jeudi 8 avril 2010

« Solar Impulse » a effectué son premier vol hier.

L’explorateur Bertrand Piccard envisage de faire le tour du monde en 2013 avec  son appareil.

Aussi grand qu’un Boeing 747 (plus de 63 mètres d’envergure), mais léger comme une voiture moyenne (guère plus d’une tonne et 1/2), le prototype a répondu, au cours de ce premier vol d’une heure vingt-sept, aux attentes de son pilote.

D’après lui, cet avion « doit démontrer ce que nous pouvons déjà faire aujourd’hui pour utiliser les énergies renouvelables ».

Voler sans moteur, avec le simple bruit du frottement de l’air, cela fait rêver… A quand les longs courriers « solaires » ?…

Pour en savoir plus : www.leparisien.fr