L’un des enjeux du Développement Durable est la filière alimentaire.
Les établissements engagés l’ont bien compris.
Mettre en place des partenariats avec des producteurs locaux permet d’optimiser la logistique et le bilan carbone de leurs approvisionnements.
Cela permet aussi et surtout de valoriser les richesses gastronomiques environnantes et dynamiser le tissu local à l’échelle d’un pays, d’une région, d’une commune…
Quoi de plus dépaysant et enrichissant que de goûter aux spécialités locales ? Prolonger son expérience touristique par un voyage des sens à la découverte des saveurs…
Les consommateurs y sont de plus en plus sensibles, à l’image du succès des « AMAP » (Associations pour le Maintien de l’Agriculture Paysanne) destinées à favoriser l’agriculture paysanne et biologique, en proposant fruits, légumes, oeufs, fromage, viande…
Sans compter que l’alimentation locale / bio est saine pour le consommateur et son environnement.
Protéger notre patrimoine gastronomique, c’est aussi manger au rythme des saisons en redécouvrant les produits que consommaient nos arrières grands parents, et que l’on revoit apparaître peu à peu (patisson, crosnes…), au grand bonheur des amateurs de goût.
Qui n’a jamais expérimenté la mémoire du goût ? Replonger dans ses souvenirs grâce à une tarte maison, une confiture, des légumes, des fruits, qu’on n’a plus l’habitude de consommer…
Ces petits plats, ces produits marquent les esprits et nous laissent rarement indifférents…
Mots-clefs : Gastronomie locale, Hébergement durable, Hygienne de vie, Organic food, Patrimoine gastronomique, tourisme durable
Suivant ce schéma, il est préférable que les spécialités locales restent locales et ne soient pas disponible à travers le monde..
Ce serait se méprendre que de dire que les spécialités locales ne doivent se trouver que localement.
Néanmoins, les valoriser dans les établissements touristiques donne du sens à la culture gastronomique à l’inverse du « tout standard » de l’hôtellerie de masse…